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Jazz « chaud » joué avec ardeur en opposition au jazz « straight » droit, figé
tel qu’il est écrit. Quand les Noirs (New Orleans) et les Blancs (Chicago) se
réunissent, ils pratiquent le jazz hot : ça chauffe ! Le jazz hot d’un Louis
Armstrong, d’un Duke Ellington s’oppose au jazz appliqué d’orchestres de danse
imitant le « vrai » jazz. Le terme jazz hot n’est plus guère employé aujourd’hui
car depuis on parle plutôt de swing. Des
formations américaines ont souvent inclus le terme "hot" dans leur dénomination
tandis qu’en France, en 1932, est créé le Hot Club de France puis, en 1934, la
revue française Jazz Hot par Hugues Panassié, le Quintette du Hot Club de
France, au moment où Louis Armstrong donne son premier concert à Paris, salle
Pleyel. => cool
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