Forme ouverte

En marge de la musique aléatoire de l’École de New York, les musiciens de Darmstadt préfèrent parler de  « forme ouverte ». Les compositeurs américains, émules de John Cage, déterminent avec précision un processus général dont la réalisation est vouée au hasard. En revanche, Boulez et Stockhausen en 1957, n’abandonnent au hasard que le parcours général d’une partition balisée dont les détails sont encore rigoureusement écrits. Le style est hérité du sérialisme intégral mais l'écriture se libère de sa rigueur mathématique jugée trop contraignante et froide. Référence : Klavierstück XI pour piano de Stockhausen ou Troisième Sonate  pour piano de Boulez.
 

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Mais c'est la Deuxième Sonate qui est la plus réussie !
Un disque petit prix.

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